Esch

Avant dernier d’une fratrie de cinq, Laurent Biltgen est né au Burgronn et a grandi à Neudorf. Il a fréquenté les écoles des quartier Neudorf et Dellhéicht. Après avoir terminé ses études secondaires au Lycée de garçon d’Esch, il a fait des études à Eupen pour devenir instituteur. Pendant 17 ans, il a enseigné au centre d’Esch avant de prendre un poste à Ehlerange pour pouvoir intégrer le conseil communal à Esch. La pédagogie a toujours été son sujet de prédilection, dans le vie privée et dans la vie professionnelle. Il s’est toujours engagé pour une école inclusive où l’enfant serait au centre. Il a mis en pratique ses convictions au sein de différents projets scolaires et en tant que membre fondateur du GLEN (Groupe luxembourgeois d’éducation nouvelle). Depuis 1999, il est membre de déi Lénk où il s’engage tant sur le plan nationae que communal. Dans son engagement politique l’éducation est aussi un de ses sujets de prédilection. Comme il s’intéresse à la nature et à l’environnement depuis qu’il est jeune, cette thématique est aussi au cœur de son action politique. Actuellement, Laurent est membre du conseil communal et des commissions d’hygiène et de l’éducation. Il s’intéresse beaucoup à l’art et à l’histoire et il est le secrétaire de l’association « Escher Geschichtsfrënn » qui travaille sur l’histoire d’Esch. Au sein de l’association et au conseil communal, Laurent s’engage pour qu’Esch ait enfin son propre musée d’histoire. Il a trois enfants adultes et habite depuis 1996 avec sa famille dans le quartier Bruch. Il passe son temps libre dans son jardin ou avec son chien lors de longues balades dans la nature eschoise.

Mateusz Buraczyk est né en 1987 en Pologne. À l’âge de 6 ans il est arrivé avec sa famille à Pétange. Pendant ses années au Lycée des garçons, Esch a forgé son caractère. Après cinq années d’études à Trèves, il y est resté pour travailler quatre au service d’une députée de la Gauche. Il a également été membre du conseil communal de Trèves pendant deux ans. Il a tourné le dos à la ville allemande et à la politique lorsque ses autres passions, la musique et la culture alternative, l’ont rappelé à Esch. Ainsi, depuis le début de l’année 2019, il travaille à la Kulturfabrik en tant que chargé de relations aux publics. Une tâche qui lui a permis de faire la connaissance de nombreux acteurs et initiatives sur le territoire de la ville d’Esch. À côté de la culture locale, Mateusz s’engage en faveur de la transition écologique. Pour lui, une inclusion conséquente signifie une société sans barrière pour chacun.e, un accueil digne des réfugié.e.s, mais aussi – et cela est souvent oublié – la lutte contre la pauvreté sous toutes ses formes. Évidemment, il ne faut pas non plus perdre de vue la perspective des jeunes. Avec quatre autres personnes Mateusz habite au quartier Neudorf dans une collocation qui a failli disparaître il y a deux ans, mais la volonté du bourgmestres CSV Georges Mischo d’interdire les collocations a heureusement été brisée. Il est consternant de voir à quel point l’incompétence politique extrême peut influer sur la vie privée des citoyen.ne.s. Votez déi Lénk pour que Esch change !

Malcolm a 22 ans et il a grandi à Esch, dans le quartier du Brill. Au fil de son histoire, Esch est devenue une ville ouvrière et symbolise aujourd'hui une ville culturelle. Le mouvement politique "Déi Lénk" incarne cette nouvelle dynamique culturelle. Les centres d'intérêt politique de Malcolm incluent la facilitation de l'accès à la culture pour tous, ainsi que la garantie du droit à un logement décent. En dehors de ses activités politiques, Malcolm aime également le théâtre et les échecs.

Linda Ortolani a 43 ans, elle est mère de trois enfants. Née à Esch, elle habite avec sa famille à Lallange. Après ses études elle est revenue à Esch non seulement parce que c’est la ville de ses origines, mais aussi parce qu’Esch a un grand potentiel pour devenir une ville conviviale. Depuis 2010, Linda est membre de déi Lénk, le parti qui représente le mieux ses valeurs et ses idées d’une société socialement et écologiquement juste. Les sujets politiques comme l’égalité des chances , la transition écologique et économique, l’éducation et l’environnement lui tiennent particulièrement à cœur. Linda combine son travail d’institutrice et de pédagogue par la nature avec son amour pour la nature et l’environnement. Elle a un ainsi un mi-temps dans une classe en plein air pour élèves à besoins spécifiques et passe son temps libre de préférence avec ses enfants en forêt ou autour du jardin communautaire. En tant que membre du comité de Transition Minett, elle essaie de s’engager pour un avenir durable pour la ville d’Esch.

Jeanne Pletsch a 44 ans, elle est institutrice et habite depuis 2017 à Esch dans le quartier Zaepert. Elle est originaire de l’Oesling et a fait ses études à Bruxelles, Fribourg et Luxembiourg. Il y a onze ans, elle est tombée amoureuses d’un Eschois… et d’Esch qui est devenu son chez soi. Elle s’y sent bien parce qu’Esch est composé de contradictions qui se complètement et se mélangent si bien : ville et nature ; de vieux bâtiment témoignant silencieusement d’un temps révolu et des quartiers nouveaux plus modernes ; des gens arrivant d’un peu partout et des Eschois.es de « souche ». Dans son travail quotidien avec les enfants, Jeanne remarque que certaines personnes sont exposées depuis leur plus jeune à âge à des discriminations. Ces discrimination sont devenus de plus en plus visibles ces dernières années et cela ne la laisse pas de marbre. Pour cette raison, elle apprécie l’engagement de déi Lénk contre les inégalités. Jeanne veut s’engager pour une ville d’Esch ouverte, tolérante et juste.

Valérie Reitz a 34 ans, elle est assistante sociale et habite depuis toujours à Esch et depuis quatre ans dans le quartier Uecht. Elle passe une grand partie de son temps libre avec son chien au Ellergrund. Pour elle, Esch est une ville diversifiée, vivante et dynamique et ses citoyen.ne.s authentiques et sincères reflètent cette diversité. Mais Esch est avant tout son chez soi, la ville de son cœur. Elle s’engage chez déi Lénk parce qu’elle estime que c’est le seul parti qui agit véritablement dans l’intérêt de tous.tes les citoyen.ne.s et pour une société plus juste. De par son engagement dans le secteur social, elle s’intéresse surtout au logement, à la famille et l’égalité des chances.

Marinella a 45 ans, elle est éducatrice diplômée, célibataire et habite depuis 7 ans dans le quartier Al Esch. Elle s’engage depuis de longues années dans les domaines sociopolitiques et socioculturels et dans le domaine de la migration. Elle s’intéresse particulièrement à la problématique et à la politique du logement, mais aussi aux projets d’inclusion et à la participation citoyenne à Esch et dans ses différents quartiers. Elle est membre actif du projet de colocation de Life asbl, de la Jif (Journée internationale de la femme) et de Moving LAB asbl. Ce qu’elle apprécie particulièrement à Esch c’est sa diversité, son ouverture, sa dynamique, sa population et son histoire industrielle et migratoire. La valorisation du patrimoine et la redynamisation des friches industrielles sont au cœur de ses préoccupations. Marinella décèle dans la jeunesse eschoise un grand potentiel créatif qui a besoin de lieux et d’espace pour s’épanouir. Les étudiant.e.s peuvent être une source de dynamisme et d’innovation pour redynamiser la ville d’Esch.

Kevin Sousa a 26 ans et fait des études de philosophie aux Pays-Bas. Il est né et a grandi à Esch. Pour lui, Esch représente la diversité, la résilience et la force, mais aussi les inégalités, la souffrance et la douleur. En tant qu’enfant queer né de parents portugais, il a pu vivre la solidarité entre cultures minoritaires. Il a également pu observer de près comment le Luxembourg a condamné ces mêmes minorités, qu’il se targue de défendre sur la scène internationale, à la pauvreté, la souffrance et la mort à cause de politiques superficielles et pseudo-progressistes. La politique de Kevin se base sur l’intersectionnalité de la souffrance et de la communauté, surtout dans les domaines du logement, de la pauvreté, des inégalités scolaires, de la discrimination et des santés mental et physique. S’il ne s’adonne pas à la critique d’un produit quelconque de la culture populaire luxembourgeoise, il aime regarder des films.

Samuel Baum a 28 ans, il est assistant social et un Eschois de souche qui a grandi à Lallange. Le sport a longtemps joué un rôle très important dans le vie de l’ex-handballeur. Depuis 2018, son engagement politique est de tous les instants. Il est ainsi membre des commissions du sport, de la jeunesse, des affaires sociales et du logement de la ville d’Esch. « Si les Eschois.es ne trouvent pas de logement et sont obligé.e.s d traverser la frontière pour se loger, nous devrions avoir honte. » La politique du logement est centrale pour Samuel car la classe moyenne est en voie de disparition et les fossé entre riches et pauvres se creusent. Les communes ont à leur disposition un bon nombre d’outils pour mettre fin à cette évolution, mais encore faudrait-il s’en servir. Il faut également que cela vaille la peine de vivre à Esch et pour cette raison Samuel s’engage aussi pour un réseau de pistes cyclables sécurisé, la sécurité autour des écoles, moins de voitures dans le centre-ville et plus de surfaces vertes.

Mike Monteiro-Gaubig est chauffeur de poids lourd, mais il est en train de se rendre indépendant dans le domaine qui l’intéresse le plus : l’informatique. Des sujets comme la protection et la sécurité des données lui tiennent particulièrement à cœur. C’est pour cela qu’il suit les discussions sur la vidéosurveillance dans les lieux publics. Ils s’engagent également pour le diffusion de produits « open source », des programmes et applications qui ne dépendent pas de grandes multinationales et dont les utilisateurs peuvent se servir soit gratuitement, soit pour un prix très avantageux. Il s’engage au niveau communal parce qu’il pense qu’il est important d’influer sur l’organisation et le développement de la ville d’Esch. Habitant le quartier du Brill, il s’engage pour l’intégration sociale, le logement abordable, mais aussi la reconnaissance de la diversité. Par ailleurs, il accorde une importance spéciale à la simplification administrative pour que tous.tes les citoyen.ne.s aient la possibilité de faire valoir leurs droits et de participer au débat public.

Sarah Mandres a 34 ans, elle est assistante sociale et artiste. Elle est Eschoise et habite le quartier Al Esch. Esch est une terre d’accueil pour tout le monde, qu’il.elle soit jeune, vieux.eille pauvre ou riche. C’est une ville multiculturelle avec un grand potentiel. Si nous n’étions pas si différent.e.s, ce serait moins amusant. Sarah est chez déi lénk parce qu’elle pense qu’il est important de rétablir un équilibre qui a tendance à disparaître dans notre société. Chaque personne devrait avoir le droit à un logement digne, a des services de santé de qualité, à une bonne éducation, à un bon travail et à une pension qui permet de bien vivre à la fin de la vie active. Il faut mieux répartir la richesse. Les sujets qui l’intéressent sont d’abord le logement parce qu’elle ne peut pas comprendre que des personnes soient dans une situation de logement précaire dans un pays si riche. Ensuite la culture, parce que la ville d’Esch a du potentiel. Nous ne sommes pas Paris (et nous ne voulons pas l’être), nous sommes foncièrement Berlin. Si elle ne travaille ni ne crée, elle aime être dehors dans la nature, à pied ou à vélo.

D’Stéphanie Lanners, 40, ass gebierteg aus der Mierscher Emgéigend. Virun enger Dosen Joren huet et hatt awer an de Minett verschloen an hatt wunnt elo säit 6 Joer zu Esch am Quartier Zaepert. Esch ass seng Walheemecht, eng Aarbechterstad, wou divers Kulturen zesumme kommen, eng Stad mat Charakter, gepräägt duerch seng eenzegaarteg industriell Vergaangenheet. Duerch déi oppe Mentalitéit vun den Escher Leit huet hatt sech schnell hei agelieft a wuel gefillt. Hatt ass Educatrice graduée a betreit um Terrain Leit, déi mat verschidde Problematike konfrontéiert sinn, wéi z.B. der Logementskris, dem Aarmutsrisiko, häuslecher Gewalt, Diskriminatioun, asw. Hatt ass bei déi Lénk, well sech do och agesat gëtt fir deenen eng Stëmm ze ginn, déi net ëmmer gehéiert ginn. Zousätzlech ass hatt aktive Member bei der JIF an an der Chancëgläichheetskommissioun. Bei déi Lénk Esch ass hatt säit 2 Joer Coordinatrice. Hatt ass houfreg kënnen een Deel vun dëser dynamescher an engagéierter Equipe ze sinn, déi net zéckt duerch Aktiounen op aktuell Problematiken hinzeweisen. Hatt hofft dass déi Escher dës Dynamik erkannt hunn, an déi Lénk duerch hir Stëmm an den Wale wäerte stäerken.

Sandra Laborier a 42 ans, elle est éducatrice graduée et vit depuis 10 ans à Esch dans le quartier Hiehl. Pendant 19 ans, elle a travaillé en tant qu’éducatrice pour Graffiti, le programme d’émissions pour jeunes de la radio Ara. Dans ce contexte, elle a mené à bien des projets culturels et d’éducation aux médias. Depuis mars 2023, elle est chargée de direction au Rainbow Center, un projet de l’association Rosa Lëtzebuerg. Depuis 2018, elle est membre de la commission de l’égalité des chances de la ville d’Esch et depuis 2022 elle est également membre de l’association des parents d’élève de l’école du Brill. Les thèmes politiques qui lui teinnent à cœur sont les médias, la culture, le féminisme, les droits LGBTIQ+, l’éducation, la mobilité et la transition écologique.

Frank Jost (dit Tun) est retraité fonctionnaire communal mais actif et habite en Al Esch. Il affirme que Esch est du point de vue urbanistique la meilleure ville du Luxembourg. Il est membre-fondateur de déi Lénk et membre des commissions consultatives du développement urbain et de la mobilité. Il s’occupe surtout de questions économiques, des perspectives du développement urbain et de la transition écologique. Frank Jost est blogueur et auteur d’une brève histoire d’Esch du début jusqu’en 1920, publiée online en une cinquantaine de chapitres.

Geneviève Jadoul est née à Wiltz, mais habite depuis 17 ans à Esch dans le quartier Uecht. Elle a 46 ans, est orthophoniste de formation et travaille depuis plus de 15 ans en tant que chargée de cours pour l’alphabétisation des adultes. Depuis quelques années elle donne également des cours de luxembourgeois pour la ville d’Esch. Elle apprécie l’échange avec des personnes venant de différents pays. Enfant, elle s’est déjà posé des questions sur les inégalités sociales dans notre société. Pour cette raison, elle est heureuse de pouvoir s’engager chez déi lénk. Elle s’intéresse surtout au logement, à l’intégration, à la mobilité, à la transition écologique et au bien-être des animaux. Elle est membre de la commission de l’intégration et elle adore la piscine, le service VëlOK, le théâtre, le parc du Galgenberg et les bois autour d’Esch. Geneviève rêve d’une ville d’Esch avec moins de voitures, beaucoup d’arbres, une piscine en plein air, quelques restaurants vegan et beaucoup de logements abordables.

Fabio Da Re a 27 ans. Il est né à Esch et a grandi dans le quartier Al Esch. Il est parti à l’étranger pour étudier l’Histoire et aujourd’hui il est chargé de cours dans un lycée d’Esch. Pour Fabio il est important qu’Esch dispose de plus de logements abordables. La commune peut jouer un rôle actif en achetant davantage de logements et en s’impliquant dans la construction de logements dont elle resterait le propriétaire. Il estime aussi qu’il faut mieux faire connaître la ville et la nature. Avec le réchauffement climatique, il est crucial qu’Esch devient plus écologique. D’un côté, nous devons nous préparer aux conséquences du réchauffement climatique. De l’autre, nous devons tout mettre en œuvre pour éviter que la situation s’aggrave et que notre qualité de vie se dégrade. La mobilité est également une priorité pour Fabio. Il s’agit de mettre l’humain au centre de l’aménagement de la ville. Bien entendu, il doit être possible d’aller n’importe où à n’importe quelle heure. Ce qui est uniquement possible avec un réseau de transports publics intelligent à Esch et au-delà.

Nina a 30 ans et aime dire qu’elle est une vraie fille du Minett : elle est née à Esch, y a fréquenté l’école, y travaille et se sent chez elle dans le quartier Bruch. Pendant six ans elle a étudié, travaillé et élargie son horizon à Berlin. C’est dans la capitale allemande qu’elle a découvert qu’elle avait l’âme à gauche. Elle est ensuite revenue au Luxembourg pour sa famille et ses ami.e.s, mais aussi pour s’occuper de la problématique du logement. « Esch est mon chez moi ! », dit-elle. «  Le fait de pouvoir vivre ici, à l’époque en collocation et maintenant avec ma propre famille, est un privilège. » L’année passée Nina a fêté ses trente ans, la naissance de sa première fille et son master en sciences sociales et de l’éducation à l’Université du Luxembourg. Avec son compagnon (Partenaire ?), ils attendent la naissance de leur fils pile pour le jour des élections. Comme ça la boucle est bouclée.

Line Wies a 34 ans. Elle a grandi rue de l’Alzette et habite toujours dans le quartier du Brill. Depuis 2017, elle siège au conseil communal d’Esch. Elle est attaché parlementaire pour le groupe parlementaire déi Lénk. A côté, elle travaille sur ses projets artistiques et est en train d’écrire un pièce de théâtre. Line est une féministe convaincue. Avec d’autres féministes de la plateforme JIF, elle organise depuis quelques années la grève des femmes du 8 mars. Elle est membre de la commission de la culture et défend les intérêts de locataires au sein de la commission des loyers d’Esch. Des perspectives professionnelles pour les jeunes, le développement culturel, la lutte contre la crise du logement et le changement climatique font partie de ses principaux centres d’intérêt.