Dudelange

Je suis Marion Thill, mère de 3 enfants. Je travaille en tant que psychomotricienne et psychologue.  Il me tient spécialement à coeur que nous agissions plus concrètement et rapidement afin que nos enfants n’aient pas à résoudre tous les problèmes sociaux et environnementaux que nous n’avons pas abordés. Il est important pour nos enfants, mais également pour beaucoup de personnes aujourd’hui de montrer qu’il est possible, dès à présent, de construire un vivre-ensemble plus juste et plus respectueux de l’environnement.

Je suis Jos Thill et j’ai 68 ans. Je suis père de 3 enfants adultes, membre de l'OGBL, de l'ASTI, du Comité contre le nucléaire et membre fondateur du Welt-Buttek Dudelange. Je suis engagé dans plusieurs coopératives photovoltaïques et dans un projet de Gestion locative sociale. J’étais arbitre de football pendant 23 ans pour le compte du F91 et élu au conseil communal de Dudelange lors des 2 dernières élections. Ce qui m'importe le plus, c'est d'œuvrer à l'amélioration des conditions de vie des personnes les moins bien loties et à la réduction des inégalités entre pauvres et riches.

Je suis Marc Balthasar, j'ai 48 ans, je suis marié depuis 10 ans et j'ai 2 enfants (8 et 10 ans). Je suis venu vivre à Dudelange il y a 16 ans, lorsqu’on pouvait encore se payer une maison ici. Après avoir travaillé pendant 7 ans à la Bourse, j'ai suivi les études d’éducateur gradué et j’ai eu mon diplôme à l'âge de 29 ans. Ensuite j'ai travaillé dans différents foyers pour enfants et jeunes. Maintenant, je travaille pour la « Stëmm vun der Strooss » au foyer du jour à Esch, où chaque jour je me rends compte ce que signifie être pauvre et ne pas un toit sur la tête. J'y rencontre aussi des gens qui travaillent, mais qui gagnent si peu qu'il est pratiquement impossible de trouver un logement convenable. Dans le temps, j’ai joué au basket à Grünewald et Ettelbruck. Maintenant, je suis arbitre pour le T71. J'aime faire de la moto et, aussi souvent que possible, je fais une balade à vélo dans sur notre belle Haard. Je suis engagé auprès de déi Lénk Diddeleng depuis 3 ans. Pour moi, c'est le seul parti qui se rapproche le plus de mes idées d'une société plus juste. J'ai un chat.

Je suis Carole Thoma et j'ai 32 ans. J'ai passé presque toute ma vie à Dudelange : à l'école, à l'école de musique et au tennis de table. Pendant mes études à Kaiserslautern, j'ai commencé à m'impliquer en politique et en 2011 j'ai participé pour la première fois aux élections communales. Par la suite, j'ai poursuivi cet engagement et je suis heureuse d'être la porte-parole nationale de déi Lénk depuis 2015. J'ai pris de plus en plus conscience que dans une société, des intérêts différents se rencontrent et je veux donner mon apport pour représenter les personnes qui vivent de leur travail et dont les besoins sont souvent ignorés dans la vie de tous les jours. Pour moi, cela passe aussi par un engagement syndical à l'OGBL, en tant que membre de la Chambre des Salariés et vice-présidente de la section locale de l'OGBL. Depuis 2018, je travaille comme ingénieure en ouvrages d’art, un travail qui exige beaucoup, mais qui me plait très bien. Si nous voulons promouvoir la mobilité douce, nous avons besoin d'infrastructures décentes et de pistes cyclables sûres - et j'y travaille tous les jours. Dans mon temps libre, j'aime lire ou passer mon temps au gymnase. Depuis 25 ans, je suis membre du Dëschtennis Diddeleng (club de tennis de table) et représente également le club à la FLTT en tant qu'arbitre nationale. Diddeleng est une belle ville, et je ne peux pas m’imaginer vivre ailleurs. Mais je trouve problématique que c’est un seul parti qui dirige cette commune depuis la Seconde Guerre mondiale. Un tel monopole n'est jamais bon, surtout pas pour la démocratie et la transparence. Les idées de l'opposition sont automatiquement bloquées, sans les aborder concrètement. Je veux plaider pour la création de plus de logements abordables à Dudelange et pour qu'il soit possible de se rendre de A à B en toute sécurité à vélo. Par conséquent, il faut aussi du courage pour prendre des décisions claires. Je suis prête.

Je suis Thessy Erpelding, j'ai 56 ans et 2 enfants majeurs. Je suis fonctionnaire communale auprès de la Ville de Luxembourg et membre du conseil communal de Dudelange. Je suis Dudelangeoise de naissance, j’y ai suivi les études primaires et pratiqué le sport. Ma grand-mère était italienne et j'ai hérité d'une bonne partie de son tempérament. Pendant mon temps libre, je lis beaucoup, j’aime me promener et faire de la randonnée et en regardant le football, je peux éteindre toutes mes pensées. Pendant 17 ans, j'ai travaillé à la commune de Dudelange. J'ai été secrétaire de l'école de musique pendant 12 ans, un emploi que j’ai bien aimé, notamment parce que j'aimais beaucoup le contact avec les élèves, ainsi qu'avec leurs parents. Ensuite j'ai travaillé pendant 5 ans à l’office des citoyens, où encore une fois le contact avec le citoyen était très important pour moi ainsi qu’un bon service personnel. En 2019, j'ai changé de commune et en octobre 2020 je suis devenue membre du conseil communal grâce à la rotation appliquée par déi Lénk. Représenter déi Lénk en tant que seul membre de la liste (parmi 19) est un grand défi et exige beaucoup de temps et d'énergie. Je dois bien connaître chaque dossier pour pouvoir voter en toute bonne conscience et dans le sens de tous les Dudelangeois. Je suis d'avis que les 19 membres du conseil communal devraient travailler ensemble dans l'intérêt des citoyens de Dudelange. C'est pourquoi une réelle transparence dans tous les domaines est à mon avis essentielle, mais malheureusement elle n’est pas toujours garantie par la majorité actuelle. Les membres de l'opposition ne sont pas toujours au courant de tous les détails, malgré beaucoup de questions et très souvent on est mis devant des faits accomplis qu’on devrait simplement accepter et voter. Une collaboration saine repose sur le fait que tout le monde est au même niveau d'information.

Bien sûr, les dossiers traitant d’enjeux sociaux me tiennent particulièrement à cœur et je suis d'avis que notre commune devrait devenir beaucoup plus active dans le domaine du logement abordable. Je suis engagée auprès de déi Lénk, car c’est le seul parti qui défend vraiment les gens qui ne vont pas si bien, qui travaillent mais qui n'ont pas de quoi vivre et qui, entre autres, n'ont pas les moyens pour payer un logement adapté à leurs besoins.

Je suis Lamine Oumar Bangoura et j’ai 27 ans. Je suis titulaire d’un bachelor en droit et maintenant étudiant en études parlementaires au sein de l’Université du Luxembourg. Je suis membre actif de l’Association Luxembourgeoise pour le Dialogue Interculturel au sein de laquelle je suis co-responsable du projet politique pour la participation visant à sensibiliser les ressortissants étrangers à s’inscrire sur les listes électorales. Mon passe-temps favori est le sport et me balader dans les parcs, car j’aime être en contact direct avec la nature. Mon engagement en politique est motivé par le fait que j’ai toujours aimé être au service des autres. J’aimerais donc apporter mon savoir-faire afin d’aider ma commune dans la résolution de certains problèmes liés à la crise du logement, la transition écologique, la mobilité. Mais aussi et surtout, impliquer plus de jeunes dans la prise des décisions locales par le biais de certains projets et pour le bien de notre démocratie.

Je suis Francesco Canonico et j’ai 31 ans. Je suis vendeur et délégué du personnel OGBL dans le magasin où je travaille, et je suis thérapeute. La photographie est ma passion. D’origine italienne, j’ai passé toute ma vie dans la commune de Dudelange. Je dénonce les inégalités sociales et je m’intéresse surtout pour l'intégration, la transition écologique, le logement et le bien-être des gens.

Je suis Fadila Chérif, j’ai 53 ans et j’ai 2 enfants.

Je suis Daniel Philipps et j’ai 59 ans. Je suis fonctionnaire communal en retraite. Ma passion est le bricolage de maquettes militaires. Je suis candidat parce que je suis intéressé par la politique depuis ma jeunesse et je partage les idées et revendications de déi Lénk.  Je veux m'engager pour une société socialement juste, progressive et éco-socialiste.

Catherine Richard a 47 ans et vit depuis 2010 à Dudelange. Elle est chercheuse à l’université du Luxembourg sur des projets traitant d’intégration et elle est également réalisatrice de documentaires, dont quelques-uns en lien au thème des migrations. Il va sans dire que, de par son parcours personnel et de par ses recherches, Catherine s’intéresse de près aux réalités des résidents d’origine étrangère.  Arrivée en 2010 à Dudelange, un peu par hasard, mais il arrive que le hasard fasse bien les choses, elle s’est très rapidement sentie à l’aise dans cette ville.  Dudelange l’a séduite par son ouverture, son âme du Sud, son passé lié à l’histoire des migrations du pays, sa nature et sa population accueillante, sans oublier ses infrastructures culturelles et sportives qu’elle fréquente assidûment. Dudelangeoise de coeur à part entière, elle a décidé de rejoindre déi Lénk, car à ses yeux déi Lénk mène des champs d'actions bien à gauche, et s’investit pleinement pour ceux qui en ont le plus besoin. Les thèmes qui lui tiennent particulièrement à cœur sont l’intégration et le droit à un logement décent pour tous.

Hadi Saarinen est un graphiste et motion designer indépendant. Il vit à Dudelange depuis 2016. Au cours de ces dernières années, il a développé un lien profond avec la ville de Dudelange. Alors qu'il voit que les choses vont bien sous le soleil de Dudelange, il estime qu'il y a toujours place à l'amélioration et que certains problèmes se cachent sous la surface et ont déjà commencé à se développer comme le logement, la précarité de l'emploi, la disparité des richesses et le climat.

Je suis Tanja Stajnar, j‘ai 49 ans et j’ai deux enfants adultes. Je travaille en tant que salariée dans auprès d’un magasin et j’y suis engagée en tant que membre de la délégation du personnel. Pendant mon temps libre je m’occupe de mes animaux et j’aime sortir et rencontrer des gens.

Je suis Marco Stawart, j'ai 54 ans et je travaille chez Arcelor-Mittal. Je suis engagé auprès de déi Lénk depuis plus de 15 ans. C'est le parti qui m'est le plus proche et qui représente les valeurs qui me tiennent aussi à cœur. Mes hobbies sont la photographie et la musique. Je m'occupe également des sujets concernant l’environnement et l'énergie durable depuis plus de 20 ans. Il y a 5 ans, j'ai déménagé de Luxembourg-Ville à Dudelange et je ne peux pas imaginer partir d'ici, car j'ai perdu mon cœur pour Dudelange et ses sympathiques concitoyens. Je suis candidat car il y a toujours quelque chose en plus à faire, par ex. dans le secteur social ou dans le logement. Nous devons tous avoir une perspective et un avenir que nous pouvons façonner ensemble.

Je suis Michèle Petesch, j’ai 57 ans et j’ai 2 enfants majeurs.

Je m'appelle Vincent Collin et j'ai 54 ans. Je suis président de la délégation du personnel (OGBL) auprès de Guardian Bascharage et je suis membre du comité de la Chambre des Salariés. En tant que candidat de déi Lénk Diddeleng et en tant que délégué du personnel dans l'industrie, le site industriel de Dudelange me tient à cœur. Depuis toujours, une partie de l’industrie est installée à Dudelange, mais ces dernières années, il y a eu de nombreux conflits sociaux au sein de l'industrie à Dudelange. Guardian a fermé son usine à Dudelange. Depuis des années, les salarié.e.s. de Liberty Steel ne savent pas de quoi leur avenir sera fait. Eurofoil a bafoué le dialogue social. Et récemment Husky, annonçant le licenciement de 155 personnes. S’y rajoute John Zink souhaitant également licencier des salarié.e.s.

C'est pourquoi il est d'autant plus important que notre commune défende le site industriel de Dudelange et soutienne le dialogue social dans les entreprises.

Je suis Elisabeth Lefèvre et j'ai 36 ans. Je suis secrétaire et actuellement je m'occupe du ménage et de mes 2 enfants. Je vis à Dudelange depuis 2018. Pendant mon temps libre, je lis des livres, je fais de la musique (j’ai appris le solfège, le piano et le chant au conservatoire de Luxembourg) et j’écris. J'aime me promener et en route je ramasse les déchets que d'autres personnes ont jetés dans la nature.  Je m'intéresse à la politique parce que je suis consciente que la civilisation a toujours besoin de coordination et la façon dont la coexistence sociale est réglementée n’est pas sans importance. Je suis candidate parce que je sens que c'est le bon moment pour mettre mon temps et mon énergie au service du public. Je veux m’engager pour une communication transparente et pour que les politiciens prennent des décisions concernant le bien-être de toute la population. Plus de logements sociaux, une tarification échelonnée de l'eau et la meilleure éducation possible pour toutes et tous.

Je suis David Marques et j’ai 36 ans. Mes différentes fonctions dans le cadre de mon travail sont les suivantes : Assistant social - Chargé de projets d'intégration, Délégué à l'égalité des chances entre femmes et hommes, Membre du Comité d’experts sur l’intégration interculturelle des migrants (Conseil de l'Europe).

Mon nom est Mara Martins et j’ai 24 ans. Je suis étudiante en Sciences de l’Éducation à l’Université du Luxembourg. Depuis mon enfance je m’engage pour un monde plus durable et plus juste, ceci au sein des scouts et d’une asbl activiste et depuis 2017 aussi auprès de déi Lénk. Pour moi il est important qu’en tant que société, nous agissions d’un point de vue éco-socialiste et non pas en ne pensant qu’à notre bien-être individuel. Il est important d’écouter les gens marginalisés. Je suis une personne jeune et j’ai peur pour mon futur et le futur de mes co-citoyen.ne.s. Si rien ne change, je ne vais jamais trouver un logement, la biodiversité se dégradera et les conditions de vie du monde seront insupportables.

Je suis Jean-Yves Kiefer et j’ai 51 ans. Être engagé sur la liste de déi Lénk est avant tout un choix d’opposition. Opposition à un parti qui est au pouvoir depuis trop longtemps sur Dudelange. Qui dit opposition dit propositions. Proposition pour une justice sociale à travers la création de nouveaux logements accessibles à tous. Proposition pour une politique juste et équitable de cette ressource naturelle et au combien importante qu’est l’eau. Proposition enfin pour une transparence afin que les administrés puissent avoir un regard sur les budgets alloués aux différents projets travaux et puissent s’exprimer sur leurs pertinences. Sans oublier l’urgence climatique en ayant toujours à l’esprit l’impact environnemental que peuvent entraîner nos décisions futures.